Voila pour sortir du contexte j'ai voulu vous montrer une production de ma part.
Dans la description de ce form ce n'est pas marqué que l'entraide était destiné que a maple.
Voila C'est bientot la rentrer et j'aimerais savoir ce que vous pensé de ma redac' ^^
Voila : ( les fautes je les ai corrigé sur ma copie )
-Assieds toi ici Colin. Je vais te raconter cette histoire.
-Ne sois pas trop long s’il te plait. Le dîner sera bientôt servit, annonça la mère de famille.
Valentin lui raconta alors son passé.
C’était en 1946, le jeune homme n’était pas allé à l’école ce jour là et s’était promené dans le jardin des plantes de Lyon.
Il était rentré par une grande porte ornée de fougères. Devant lui s’avançait une grande allée de terre. Valentin était enfin là. C’était la première fois qu’il voyait un tel endroit. Il y avait un ruisseau qui s’écoulait le long d’une rangée de Miroir de Venus, cette fleur d’un violet velouté. Les grands saules pleureurs s’imposaient au dessus de ce cours d’eau. Les parterres de roses multicolores s’étendaient a perte de vu. Il était enivré par tant de couleurs de beauté. Les oiseaux gazouillaient sur les petites fontaines de pierre. L’émanation dégagée par les fraisiers et les buissons de groseilles l’enivrait. C’était son petit bout de paradis, là où les anges volaient, où tout était parfait.
Il s’était assis sur un banc de marbre en face d’un petit étang ou nageaient quelques poissons quand il vit quelqu’un s’avancé de l’autre coté de l’étang. Elle était là, assise en face de lui. Elle non plus elle n’était pas allé à l’école. Leur regard s’était croisé. Que faire ? Songeait Valentin. Il n’y avait pas d’autres choix. Il fallait aller la voir. Le jeune s’était levé pour prendre la barque. Il avait fait attention de ne pas saccager les nénuphars. Elle lui avait fait un signe de la main. Le garçon était gêné. Depuis le début de la guerre, ils ne s’étaient vus. Jamais il n’aurait pensé la revoir. La barque s’était enfin rapprochée de la rive. Il avait accosté.
Son cœur battait de plus en plus fort à l’approche de son ancienne amie. Ses long cheveux satinée couleur châtain s’envolait au vent. Son visage était en parfaite harmonie avec les fleurs de ce jardin. Ses yeux couleur émeraude le regardaient avec tendresse. Valentin s’était assis auprès d’elle.
-Bonjour Valentin, avait dit la jeune fille d’une voix douce
-Heu. Bonjour Claire.
-Cela fait longtemps que la guerre nous a séparé. Je suis heureuse de te revoir.
Elle avait souri. Valentin avait souri à son tour.
Le jardin des plantes n’était plus rien pour lui. Désormais il n’y avait que sa douce qui comptait à ses yeux.
Il avait rapproché sa main de celle de la fille. D’un geste timide, elle avait répondu à sa requête et ils s’étaient promenés ensemble, main dans la main dans les avenues fleuries. Émerveillés par tant de splendeur, ils s’étaient arrêtés sur un pont. Ils avaient regardé au dessus de leur tête.
-Le ciel est magnifique, avait remarqué Valentin.
Clair l’avait pris dans ses bras et ils s’étaient embrassés.
Sept heures avaient sonné depuis la grande horloge de Lyon. Les deux amis étaient rentrés chez eux dans l’espoir de se revoir.
-Le dîner est prêt ! Venez a table s’il vous plait, annonça Claire
-Oui maman j’arrive, cria Colin
-Que nous as-tu fait a mangé mon amour ? répondit Valentin
-Le premier repas que l’on a déguster ensemble dans ce grand restaurant il y a maintenant quinze ans, expliqua-t-elle.