Yop Yop tout le monde. Donc j'aimerais que vous me donniez votre avis sur le début d'une histoire de mon amis (et un peu moi mais pas des masses). Comme il n'a pas d'ordi, il est venus chez moi pour que je tape tout ça sur Word. Mais le blem c'est que je sais pas comment upload un fichier word (genre comme une image avec imagehack).
Pour vous mettre rapidement dans le contexte, le but est un peu de faire une histoire qui serait dans le genre Eragon, Narnia, Harry Potter (avec des êtres fictifs des pouvoirs magiques et tout ça).
Je vous donne ça, sachez qu'à la fin il y a des indications qu'il a fait et que j'ai rajouté pour pouvoir vous guider dans votre critique (c'est un peu dure de donner son avis sur une infime partie de l'histoire).
Chapitre I
Rencontre avec l’inconnu
Il était huit heure trente-cinq lorsque Dean Paterson se fit bruyamment réveiller par les coups effrénés que portait sa tante Ursella à la porte de sa chambre. On aurait cru volontiers à un ivrogne se défoulant sur poteau inoffensif.
- Espèce de petit vaut rien, marmonna t-elle en repartant rapidement dans le couloir.
La chambre de Dean n’était pas très spacieuse, et les piles d’affaires de toute sorte n’arrangeaient rien pour la faire paraitre plus grande. On y voyait un exemplaire du livre « Alice au pays des merveilles » négligemment posé sur le sol, des habits parsemaient la pièce ainsi qu’un grand nombre de boîtes vides de bonbons et de chocolat. Bizarrement, le coin ou se situait le lit paraissait anormalement bien rangé. Dean se frotta rapidement les yeux et attrapa ses lunettes posées sur le bord de la table de nuit, évitant de justesse de faire tomber une montagne de livres. Au dehors, le temps était splendide, et Dean n’avait aucune envie de faire quoique ce soit en cette fin de vacance d’été. Il le savait, sa journée allait machinalement tournée autours des ordres que lui donnerait sa tante depuis son fauteuil.
- Eh bien tu as perdu ta langue ? lui dit-elle avec un regard furieux.
- Bonjours, dit Dean en mettant tout son cœur pour y donner le moins d’enthousiasme possible.
Il entreprit alors rapidement de préparer le petit déjeuner ne laissant ainsi aucunes possibilités à sa tante pour lui faire d’autres réflexions. Une fois les œufs, les toasts et le bacon prêts, il les déposa sur un plateau qu’il apporta rapidement à sa tante en le posant sur la table devant elle. Bien conscient que ses seuls moments de répits étaient les moments pendant lesquels sa tante ne pouvait pas parler (c'est-à-dire lorsque celle-ci était en train de manger) il remonta les escaliers menant à sa chambre à toutes vitesses emportant au passage deux tartines à la confiture posées sur la table de la cuisine.
Dean vivait avec sa tante dans une large maison spacieuse entourée d’un jardin très habilement fleurit. Il y avait tout autour du terrain une haie haute de deux bons mètres. Des dalles en grés formant un chemin étroit parmi la pelouse amenaient devant un portillon en fer forgé de couleur marron défraichi par le temps. Aucune voiture n’était garée sur l’emplacement prévu à cet effet. Un jour Dean demanda à sa tante la raison pour laquelle ils n’avaient pas de voiture, et elle lui répondit qu’elle l’avait vendu il y a bien longtemps afin de pallier le manque du salaire de son mari. L’oncle de Dean (qu’il n’avait jamais connu) était décédé six ans plus tôt ensevelis dans une avalanche lors d’une randonné à la montagne. Sa tante, se disait Dean, s’était habitué à l’idée d’être veuve mais elle évitait tout dialogue lorsque Dean lui parlait de son oncle, préférant lui lancer avec férocité des « Eh bien, tu n’as rien d’autre à faire que de ressasser le passé !? Vas donc méditer sur tes corvées ». Bien qu’elle vivait dans une agréable maison, Ursula ne vivait qu’avec un modeste salaire et quelques indemnités. Dean et elle vivait dans un petit village situé à une vingtaine de kilomètre de Londres non loin d’un lac ou Dean, pendant ses moment libres, allait se détendre et profiter du soleil radieux.
Dean n’avait que de vagues souvenirs de ses parents. Il avait sept ans lorsque ceux-ci, après un long voyage en Australie n’étaient jamais revenus. Les autorités australiennes avaient conclus qu’ils avaient dû avoir un accident de la route près d’un canyon, et tomber dans le précipice après avoir retrouver les restes de leur voiture carbonisée. Alors qu’il approchait de ses quinze ans, il lui était devenu de plus en plus douloureux de repenser à ses parents, et seul le fait de pouvoir les voir en photos ne comblait en rien son manque. Leur ancienne maison étant vendus depuis quelques années, il ne lui restait plus qu’un carton de babiole leur appartenant. Une montre, un album photo et un collier auquel était accrochée une pierre qui ressemblait à une opale qu’on aurait fusionné avec une émeraude, étaient les objets dont il ne séparait jamais.
Alors qu’il avait finis son petit déjeuné dans sa chambre, Dean, qui ne pensait plus qu’au lac, se résolus à demandé la permission à sa tante. Il ne savait pas pourquoi, mais un sentiment en lui le poussait à croire qu’il n’aurait aucunes difficultés à sortir ce matin-là. Il s’empressa alors de descendre les escaliers du premier étage se dirigeant d’un pas assuré vers le salon.
- J’aimerais bien aller au lac si cela ne te dérange pas, dit-il d’un ton calme.
- Je veux que tu sois de retour à onze heures précise, n’oublie pas que ton cousin Brod vient manger ici ce midi.
Dean qui regardait sa tante les yeux écarquillés s’empressa de détourner son regard comme si il ne voulait pas que sa tante réalise qu’elle lui laissait un peu de liberté alors qu’il y avait du rangement à faire.
- Très bien je serais là, promit-il. A tout à l’heure.
Il retourna dans sa chambre pour se changer, et un quart d’heure plus tard, il était déjà à mi-chemin de sa destination. Une fois arrivé, il s’allongea comme à son habitude sur le banc qui faisait face à la grande étendu d’eau. Il posa sa tête entre les deux planches de bois qui composait l’assise, ses cheveux bruns n’étaient pas très longs mais il réussit quand même à se les coincer dans une fissure d’une des planches. Voyant qu’il ne parvenait pas à se détacher du banc, il se relava d’un coup sec. Au même moment il vit…
Spoil pour la suite (ATTENTION CEUX QUI NE VEULENT PAS CONNAITRE LA SUITE NE LISEZ PAS MEME SI CE NE SERA PAS FORCEMENT LA VERSION FINALE) :
- Spoiler:
Il aurait juré avoir vus les buissons bougé, depuis deux jours il voyait souvent des choses anormales
…
Il vit une lettre posé sur la cime d’un arbre, il alla la cherché et revint s’asseoir mais la lettre contenait une page vierge
…
Il alla la jeté (où ??) quand soudain, il vit des écritures se former, il lu, il été invité à voir ce que peu de ses semblables n’avait jamais vus, PS : RDV à telle heure, sur tel lieu.
…
Dean se retrouve avec des Paladins (eux c'est genre des sorciers) qui sont enfaite des méchants il s’échappe avec l’aide d’une personne qui lui expliqueras la situation
…
Son père était un sorcier, le médaillon qu’il lui a laissait est une sorte de tallisemment
…
Certains ont les pouvoir de faire bouger le sol, de contrôler l’eau (les hybrides)
…
D’autres peuvent transformer les parties de leur corps en bois
…
Les trucs magiques provoquent les avalanches, les éruptions les éboulements
…
Il devait accomplir une quête, une mission.
Merci à ceux qui auront le courage de lire jusqu'au bout ^^.